Dans L’Ascenseur

Il y a une semaine, j’avais décidé d’aller prendre un verre au bar en haut de la Tour de la Porte Maillot après une réunion professionnelle.
Je rentre dans l’ascenseur.
Une femme y entre à ma suite. Nous nous mettons chacun dans un coin. J’appuie sur l’étage demandé et nous voilà en train de monter.
Puis, soudainement, l’ascenseur s’arrête entre deux étages. Bloqué.
Je suis un peu claustrophobe, et la situation me stresse instantanément. Je pâlis, me jette sur l’interphone.
- Nous sommes deux personnes, coincées, venez vite.
- Pas de panique, Monsieur, nous prenons les dispositions pour débloquer l’appareil. Soyez patient, il n’y a rien à craindre, mais cela peut prendre un peu de temps.
Je me tourne vers la femme. Elle me sourit :
- Vous semblez perturbé. Ne vous en faites pas, nous allons attendre tranquillement.
- Mon dieu, j’ai horreur de cela, c’est ma hantise.
- Calmez-vous, parlons ensemble pour passer le temps si vous voulez, cela vous évitera de vous focaliser sur votre stress. Je m’appelle Louise.
- Moi, c’est Steve
Nous commençons à parler de ce qui nous a amené dans cet ascenseur. Je me détends peu à peu. Je regarde cette femme inconnue. Elle est de taille moyenne, un peu d’embonpoint, mais un visage charmant - encadré par des cheveux auburn mi- longs - où deux yeux bleus rieurs donnent de la gaieté.
La détaillant, je constate que deux beaux seins lourds tendent son manteau. Son bassin me semble assez large.
Je vois qu’elle me regarde aussi tout en conversant de nos métiers respectifs qui s’avèrent complémentaires.

Au bout de quinze minutes, nous commençons à avoir chaud. Je pose mon blouson à terre et ma veste dessus. Louise également enlève son manteau.
J’appelle à l’interphone et l’on me signale que la panne est sévère et qu’ils en ont au moins pour une demi-heure.
Me retournant vers Louise, je constate que son chemisier est assez ouvert et me donne une belle vision de sa poitrine.

Je sens mon sexe se tendre et une légère bosse déforme mon pantalon, ce dont elle se rend compte rapidement.
Elle me dit en souriant : vous êtes moins nerveux que tout à l’heure, mais la situation semble vous tendre un peu non ?
- J’admets que je suis un peu tendu, je réponds en souriant. Et votre corsage n’y est pas pour rien non plus !
Incroyable, moi le timide, moi qui n’ose jamais aborder une femme, pensant toujours qu’elle va me prendre pour un pervers, me voilà en train d’y aller franco.
- Sans doute, la proximité de ces lieux permet de voir rapidement à qui on a affaire, dit-elle. Voulez-vous saisir cette opportunité d’un rapprochement ?
Je m’avance d’un pas, elle aussi, et je pose une main sur son corsage. De l’autre, je lui caresse les cheveux et attire sa tête vers moi. Nous nous embrassons longuement, nos langues se cherchent, nos lèvres ne peuvent se séparer. Nous sentons un élan mutuel qui nous soude instantanément.
Nos mains partent à la découverte du corps de l’autre, des boutons son défaits



Elle pose sa main sur mon pantalon, je passe la mienne sous sa jupe.
Elle ouvre ma braguette et sort ma queue.
Je lui caresse sa chatte sur sa culotte. Je sens qu’elle est déjà mouillée
Elle me branle lentement, et moi j’écarte sa culotte et caresse maintenant sa fente avec mon index.
Nous nous regardons, droit dans les yeux pendant ces approches. Je vois le désir dans son regard, et elle n’a aucun doute sur le mien.
Puis tout bascule.
J’enlève sa culotte, ouvre son chemisier totalement, je me mets à ses pieds et commence à lui lécher le minou. Ma main droite remonte pour lui palper les seins.
Elle gémit sous ma langue, ondule légèrement, tend son bassin vers ma bouche.
- Mmm, Monsieur Steve, quelle belle approche du dossier !
- Madame Louise, votre offre est très alléchante.
Et tout en recueillant ses sucs, j’aspire son petit bouton qui émerge de ses grosses lèvres.
J’approche un doigt de ma main gauche et fais des aller-retour sur sa fente. Elle soupire.
- Mets moi le doigt, enfonce toi en moi, c’est bon.
Je en me fais pas prier et lui enfonce deux doigts d’un coup. Sa chatte est large, accueillante, et je suis loin dans son con. Je vais et viens, lui léchant le clitoris et lui caressant toujours les seins.
Elle jouit brutalement, et m’envoie un petit jet de cyprine dans le gosier, que j’avale avec délices.
- Ooohh, tu m’as faite jouir, cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps ! Je veux te goûter à mon tour, lève-toi.
Et la voilà qui s’agenouille sur mon blouson, me baisse mon froc et mon caleçon, et qui enfourne ma queue. Elle me suce royalement, titillant d’abord le bout de mon gland, puis léchant autour de mon pieu avant de me reprendre en bouche.
Je lui saisis la tête et l’accompagne, et peu à peu je force, la maintenant pour pouvoir m’enfoncer en elle plus profondément.
- Une gorge profonde, j’adore, arrive-t-elle à me lancer entre deux succions.
Je pilonne sa bouche, et elle bave quand elle reprend sa respiration. Ma queue a rarement été aussi à la fête.
Mais je sens que je vais jouir, alors je la repousse, la relève.
- Attends, je veux te pénétrer. Je veux voir ton cul subir mes coups de bite.
- Cochon, tu es un cochon, mais je vais adorer je le sens.
Je la retourne, soulève sa jupe, et aperçoit sa fente luisante qui appelle le chibre dur.
Je l’enfourne d’un coup, hyper excité, et l’attrapant par les hanches, je lui lime le conduit avec ardeur. Elle ahane sous mes élans, gémit doucement quand je percute le fond de son vagin, puis soudain crie sa jouissance. La mienne suit immédiatement, et, retirant ma queue rapidement, je lui éjacule sur les fesses.
Calmés, on s’assied l’un contre l’autre, se caressant doucement, trouvant une intimité dans une tendresse qui jusque-là n’a pas été évidente, tant le désir des corps avait pris le dessus.

Une voix se fait entendre :
- La panne sera bientôt réparée, nous allons ouvrir les portes dans quelques minutes
Nous nous rhabillons rapidement, échangeons nos cartes de visite, puis un long baiser.
A peine sommes-nous retournés chacun d’un côté de la cabine que celle-ci s’ouvre sur un palier.
Des pompiers sont là pour vérifier que nous allons bien et que nous pouvons repartir chez nous.
Nous rassurons tout le monde. Louise ne pouvant attendre, elle repart de son côté, pendant que je monte au bar boire ce verre tant attendu.
Dans un fauteuil, regardant le soleil se coucher sur Paris, je suis bien. Cet épisode impromptu de l’ascenseur me laisse imaginer des lendemains sympathiques avec Louise. Je rêve. Un homme s’approche de moi. Il n’a pas l’air d’un serveur, mais plutôt d’un technicien.


- Excusez-moi, Monsieur, c’est moi qui ai géré l’incident de tout à l’heure depuis la cabine technique. Tout va bien maintenant ?
- Oui, merci, c’était un moment un peu difficile mais tout s’est bien terminé.
- J’ai vu que vous aviez de la ressource pour ne pas paniquer et passer le temps, sourit-il en me tendant une clé USB. Les ascenseurs sont munis d’une petite caméra de surveillance, vous ne le saviez pas ? Je vous remercie en tout cas, et vous promets que je n’ai pas d’autre copie. Disons que c’est ma façon de vous remercier pour ce beau spectacle, et de vous laisser un bon souvenir malgré tout !
Et il s’éclipse rapidement. Au moment de disparaître derrière un poteau, il se retourne et me fait un clin d’œil.
Encore stupéfait, je lui réponds d’un sourire.
Puis me lève pour aller vite regarder la vidéo.
Au moins, j’aurai quelque chose à envoyer à Louise pour reprendre contact !